ARTISTE DU MOIS DE JUILLET

Emilie
Léger

Lanaudière

Comment as-tu découvert le collage?

Je me suis d’abord intéressée au collage via les techniques numériques. J’ai fait plusieurs années de pratique numérique, notamment en photomanipulation, avant de développer ma pratique traditionnelle. En 2020, je me suis mise au collage analogue suite à un besoin sensoriel de toucher au matériel de façon concrète, tactile. J’utilise souvent le transfert de photographiques et la peinture acrylique à travers mes collages.

Ce que tu aimes dans cette technique?

J’aime le collage analogue parce qu’il me permet, selon le contexte, de faire une synthèse visuelle d’un concept précis ou de me pousser à réfléchir à trouver une façon de créer une unité avec des éléments disparates. Dans un cas comme dans l’autre, les possibilités sont infinies et permettent de créer de façon très personnelle, très intime.

Comment décrirais-tu ton style? 

Je m’inspire beaucoup du surréalisme, autant pour ses idéologies que pour ses caractéristiques plastiques et visuelles. Je fais souvent référence à des symboles qui évoquent le ciel, le rêve, le « plus grand que soi » et je m’intéresse à la relation entre la place de l’humain dans son environnement et dans l’espace qu’il occupe.

Ce qui te distingue des autres en un mot?

Mon imaginaire.

Où trouves-tu ton matériel, as-tu des magazines préférés?

J’utilise majoritairement des papiers artisanaux et des magazines d’art et de création pour mes collages.

Un conseil pour un artiste qui débute?

Il est nécessaire d’expérimenter, de se diversifier, de ne pas craindre de mélanger les techniques et matériaux diversifiés.

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Emilie Léger
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